VIDÉO - Près de Lille, ces jeunes parents misent sur la Citroën Ami comme seconde voiture

Dans la famille d'Amélie et Geoffrey, la mobilité s'organise autour d'un duo de véhicules inattendu : une Tesla Model 3 pour lui et une Citroën Ami pour elle. Le petit quadricycle électrique s’impose ici comme la solution idéale pour cette famille vivant dans une petite commune à une vingtaine de kilomètres de Lille.

Dans une zone où les transports en commun sont rares, Amélie, qui n’a jamais passé le permis de conduire, a fait de ce quadricycle son allié pour tous ses trajets du quotidien. Chaque jour, elle parcourt une vingtaine de kilomètres pour aller travailler, faire les courses et accompagner sa fille à l’école. « Je n'avais pas besoin d'avoir une voiture thermique ou électrique avec une grande autonomie », explique-t-elle dans notre vidéo à découvrir ci-dessus.

Son conjoint Geoffrey s’est lui aussi laissé séduire par la voiturette. Le week-end, il n’hésite pas à prendre le volant de l’Ami pour les courses ou de petits trajets de proximité. « Pour moi l'Ami, c'est la voiture du week-end, quand j'ai des courses à faire, quand je vais chercher du pain… C'est simple à garer, c'est simple à utiliser. On n'a pas peur avec ce véhicule comme il est peu encombrant et on est quand même à l'abri. »

Au-delà de son aspect pratique, la Citroën Ami joue aussi un rôle social. Amélie souligne son sentiment d'appartenir à une communauté d'utilisateurs, qui existe bel et bien dans cette campagne des Hauts-de-France. « L'Ami a une image de petite voiture sympathique, confie-t-elle. Elle attire les regards des jeunes et des moins jeunes, parce qu'elle détonne forcément dans le paysage automobile. » Geoffrey le confirme aussi : « Entre Citroën Ami, on se dit bonjour. Ça me fait penser un peu à l'esprit de la première Twingo avec les feux ronds et le côté sympa. C'est une voiture qui donne envie de sourire quand on la regarde, donc ça renforce ce côté communauté. »

Et si la vitesse limitée à 45 km/h peut parfois agacer d'autres automobilistes, le couple assure que la cohabitation sur la route ne pose pas de problème majeur : « Forcément, de temps en temps, on sent qu’on gêne la circulation. Mais ça s’est toujours bien passé. »